«Au cours d'une ronde des feux entre fours et potiers, j'ai fait la rencontre de Reynald Jenneret et ses machines prisons pour hommes sans espoirs, elles semblent témoigner d'un monde à la Orwell avec en contre poids la notion enfantine du jeu, celui de pouvoir nous réveiller bientôt avec pour lointain souvenir ce temps ou l'homme meurtrissait ses semblables dans une course absurde du scientisme sans poétique ni métaphysique. Les œuvres que j'ai vu de ce sculpteur semblent nous parler du temps d'avant le bonheur pour nous conduire avec le sourire vers l'éclaircie.»
"Ma création est conditionnée par la récupération d'objets improbables, en cuivre, bronze, fer, toile où l'alchimie des formes et couleurs peut focntionner plus facilement
J'aime les principes opposés et je m'inspire de mon époque pour représenter celle-ci avec ses bizarreries, qui me permettent d'ironiser sur la science ; laquelle peut se trouver dépassée par les outils qu'elle a créés.
Je mets en scène des personnages ambigues, détenus dans des machines démoniaques qui sortent du passé ou viennent du futur
Je ne fais pas de monstres, mes diables ne sont que de petits malins, et mes gargouilles sont les gardiens du bien éloignant les forces du mal."